Le nouveau gymnase de Gisors n’est toujours pas baptisé

 

Gisors. En service depuis un an, le gymnase n’a toujours pas été baptisé, ce qui pose problème.

« Pas Nelson-Mandela mais l’autre » est fonctionnel et très apprécié

Certains l’appellent le « gymnase du lycée », d’autres « le nouveau gymnase ». Si cela peut prêter à sourire, c’est un détail qui peut déranger au quotidien. Mis en service depuis maintenant plus d’un an, le dernier gymnase construit à Gisors n’a toujours pas de nom.

D’un point de vue pratique, par exemple, cette absence de désignation officielle pose problème pour l’organisation de compétitions. D’autant que le gymnase Nelson-Mandela, toujours en activité, est situé à 150 m. Si bien qu’aujourd’hui, les professeurs qui l’utilisent au quotidien, comme les éducateurs bénévoles, lui cherchent un patronyme pour éviter de dire comme cela se produit : « Pas à Nelson-Mandela, mais à l’autre. »

Si la Région peine à lui trouver un nom, on pourrait lui en souffler quelques-uns. D’Emmanuel Petit, un Normand champion du monde de football à Yvon Douis, 3e de la Coupe du monde de football en 1958 en passant par Jacques Anquetil ou Mathieu Gourdain, le sabreur, médaille aux Jeux olympiques d’escrime, les grandes figures sportives normandes ne manquent pas. Et nul doute que les clubs accepteraient même de financer le coût de la plaque. Si c’est du côté financier que cela bloque…