La nouvelle équipe féminine de volley-ball à l’aise sur les parquets

L’équipe reconstituée depuis quelques mois seulement a vite su trouver son rythme.

L’équipe des volleyeuses de Gisors (de gauche à droite), au dernier rang : Zoé Delabaudière-Le-Meur, Charlotte Moreau, Marie Salabert, Chrystelle Canova, Claire Dupuy, Laetitia Vin (la présidente). Au premier rang : Elsa Martinovic, Julie Bourne-Chastel, Coraly Simoes.

Les féminines de l’Entente Gisors Volley-ball semblent avoir trouvé leur rythme de croisière, en remportant leurs deux derniers matchs contre des équipes plus expérimentées. Nous vous les présentions en début de saison dans ces colonnes. Le phénix semble bien renaître de ses cendres et prendre son envol. Après sept années d’absence sur les terrains, les filles n’ont pas fait dans le détail, début novembre, avec une première victoire à l’extérieur sur le score sans appel de 3-0 aux dépens de l’ASPTT Rouen.

Après ce premier coup de maître les Gisorsiennes étaient attendues à domicile pour la gagne. C’est chose faite avec une victoire, 3 sets à 1, sur Le Havre Estuaire VB, à Mandela. Une sacrée performance, lorsque l’on sait que l’effectif est principalement composé de vétérans et de juniors surclassées, qui leur permet de se hisser à la troisième place de la poule A du championnat régional et d’envisager avec sérénité la suite de la compétition.

Trois équipes à Gisors pour un tournoi

 

Le club de Gisors jouait les hôtes et à su s’imposer à plusieurs reprises au cours d’un rendez-vous très sportif.

Le club de volley organisait un tournoi loisirs vendredi au gymnase Mandela de Gisors. Les joueurs de Vernon, Gaillon et Ivry-la-bataille se sont affrontés, dans une ambiance détendue. Gisors a su s’imposer contre Ivry-la-Bataille. Dans le même temps vendredi soir à Rouen, l’équipe senior masculine remportait un match 3 sets à 0 contre l’ASPTT Rouen. Dimanche après midi, c’était au tour de l’équipe senior féminine de perdre contre l’ASPTT Rouen sur 1 set à 3.

Le nouveau gymnase de Gisors n’est toujours pas baptisé

 

Gisors. En service depuis un an, le gymnase n’a toujours pas été baptisé, ce qui pose problème.

« Pas Nelson-Mandela mais l’autre » est fonctionnel et très apprécié

Certains l’appellent le « gymnase du lycée », d’autres « le nouveau gymnase ». Si cela peut prêter à sourire, c’est un détail qui peut déranger au quotidien. Mis en service depuis maintenant plus d’un an, le dernier gymnase construit à Gisors n’a toujours pas de nom.

D’un point de vue pratique, par exemple, cette absence de désignation officielle pose problème pour l’organisation de compétitions. D’autant que le gymnase Nelson-Mandela, toujours en activité, est situé à 150 m. Si bien qu’aujourd’hui, les professeurs qui l’utilisent au quotidien, comme les éducateurs bénévoles, lui cherchent un patronyme pour éviter de dire comme cela se produit : « Pas à Nelson-Mandela, mais à l’autre. »

Si la Région peine à lui trouver un nom, on pourrait lui en souffler quelques-uns. D’Emmanuel Petit, un Normand champion du monde de football à Yvon Douis, 3e de la Coupe du monde de football en 1958 en passant par Jacques Anquetil ou Mathieu Gourdain, le sabreur, médaille aux Jeux olympiques d’escrime, les grandes figures sportives normandes ne manquent pas. Et nul doute que les clubs accepteraient même de financer le coût de la plaque. Si c’est du côté financier que cela bloque…