Le club de Gisors jouait les hôtes et à su s’imposer à plusieurs reprises au cours d’un rendez-vous très sportif.
Le club de volley organisait un tournoi loisirs vendredi au gymnase Mandela de Gisors. Les joueurs de Vernon, Gaillon et Ivry-la-bataille se sont affrontés, dans une ambiance détendue. Gisors a su s’imposer contre Ivry-la-Bataille. Dans le même temps vendredi soir à Rouen, l’équipe senior masculine remportait un match 3 sets à 0 contre l’ASPTT Rouen. Dimanche après midi, c’était au tour de l’équipe senior féminine de perdre contre l’ASPTT Rouen sur 1 set à 3.
Gisors. En service depuis un an, le gymnase n’a toujours pas été baptisé, ce qui pose problème.
« Pas Nelson-Mandela mais l’autre » est fonctionnel et très apprécié
Certains l’appellent le «gymnase du lycée», d’autres «le nouveau gymnase». Si cela peut prêter à sourire, c’est un détail qui peut déranger au quotidien. Mis en service depuis maintenant plus d’un an, le dernier gymnase construit à Gisors n’a toujours pas de nom.
D’un point de vue pratique, par exemple, cette absence de désignation officielle pose problème pour l’organisation de compétitions. D’autant que le gymnase Nelson-Mandela, toujours en activité, est situé à 150 m. Si bien qu’aujourd’hui, les professeurs qui l’utilisent au quotidien, comme les éducateurs bénévoles, lui cherchent un patronyme pour éviter de dire comme cela se produit : «Pas à Nelson-Mandela, mais à l’autre.»
Si la Région peine à lui trouver un nom, on pourrait lui en souffler quelques-uns. D’Emmanuel Petit, un Normand champion du monde de football à Yvon Douis, 3e de la Coupe du monde de football en 1958 en passant par Jacques Anquetil ou Mathieu Gourdain, le sabreur, médaille aux Jeux olympiques d’escrime, les grandes figures sportives normandes ne manquent pas. Et nul doute que les clubs accepteraient même de financer le coût de la plaque. Si c’est du côté financier que cela bloque…